Le salon

Lorsque son père avait atationner la voiture dans l'entrer ilavait regarder un bon moment le jeune garçon. Il était toujours tremblant, pourtant il fesait atrocement chaud dans la voiture. Il était facile de deviner que se n'était pas due au froid ou du moins au froid physique, par contre de l'interieur il se sentait froid et vide de sence. Il se demandait s'il méritait véritablement que nous l'aidions. Le visage en larme et la fureur dans la voix de kyle retontie encore et encore, et il resta la raide le regard dans le vide, la gorge serrer. Il avait mal, ho oui, jamais il n'avait sentit pareille déchirure, c'était comme si on le fracassait jusqu'à se qu'il ne puisse plus rien ressentir tellement la douleur était intence. Il voulait mourire et à se moment il se sentait sale, laid et monstrueu.

Adrien regarda son fils d'un aire désoler. Il plaça un main sur son épaule en signe de conpation mais aucune réaction de son fils. Il due sortir de la voiture, et tirer légèrement son fils par le bras pour l'insiter a sortir a son tour et se diriger par son père, conplètement déconecter de la réaliter. Entrer il libéra son fils du manteau et l'installa dans la salon. Zak ne dit pas un mot, en faite il était assez inconcient de se qui se passait dans la réalliter et pour la centième foie il répéta la phrase d'un voix si briser, triste que l'on ne l'entendait qu'à peine. "J'ai besoin de toi." son père revin après quelque minute avec un pyjama et une couverture. Il alluma le foyer et tendit les vêtements a son fils. Puisqu'il ne réagie point il du l,aider a enfiler son pyjama et il le recouvrie par la suite d'une couverture l'installant sur le canapé.

SI zak aurait été concient, il aurait certainement refuser l'aide de qui que se soit, sobstinant a rester dans la ruelle pour mnourir de froid ou encore de faim, seulement se n'était pas le cas. Il .tait tellement partie qu'il ne ressentait plus rien d'autre que cette impression de déchirure, se manque et se dégout envers lui même. Adrien tenta de lui tirer quelque chose mais, la seul chose qui sortit des lèvres du garçon fut cette même phrase répéter continuellement sans jamais n'avoir écouter son père. Il finit par décider de rester la près de son fils jusqu'a se qu'il d'eigne lui répondre. Il observa le feu, jetant parfoie de coup d'oeuil a son fils sans résultat, jasqu'a se que totalement épuiser, le jeune garçon s'emdormie.

Abigail et sa mère avaient attendu longtemps devant la porte d'entrée, hésitant à y aller. Sa mère avait remarqué que la porte était déverouillée, mais ni l'une ni l'autre n'était sûre de réellement vouloir tourner la poignée. Abigail parce qu'Elle gardait de trop mauvais souvenirs de cet endroit, et sa mère parce qu'elle ne voulait simplement pas entrer dans une maison sans prévenir.

Finalement Abi se décida et tourna la poignée sans ménagement pour entrer. Sa mère la suivit. Les deux n'étaient pas d'une très bonne humeur, et elles étaient décidées à reprendre Spyd et à l'éloigner de son père.

Abigail resta un instant complètement glacée devant l'escalier, celui duquel elle avait été si durement poussée. Elle ferma les yeux et se mordit la lèvre. La douleur dans le dos lui revint, vive comme si ça s'était passé hier. Elle prit la main de sa mère et la serra, lui faisant comprendre qu'elle ne souhaitait pas s'éterniser. Elel sembla le comprendre et chercha des yeux où le père et le fils se trouvaient.

Elle vit de la lumière dansante venant du salon et y entraina sa fille. Elles furent assez surprises de voir Spyd endormi et son père qui semblait veiller sur lui. C'était plutôt innatendu. Elles perdirent leur contenance un instant. Cette scène était carrément absurde. Le pire, c'était la regard d'Attention paternelle qui semblait briller dans le regard de l'homme.

Déstabilisées, les deux femmes restèrent sur place un moment. Était-ce vraiment le même homme qui avait malmené Abigail? Celle-ci le reconnaissait, mais sa mère doutait. Ce fut elle qui brisa le silence, d'une voix calme et assurée.

- Monsieur, pardonnez notre intrusion mais, je crois que ce que nous faisons, nous le faisons pour le bien de votre fils. Il est pleine catatonie. Je suis infirmière, je peux l'aider, mais il...

Abigail la coupa, dégoutée par tant de douceur venant de sa mère.

- Maman! Tu te souvins à qui on parle ou merde? Ce monstre m'a battue, il a battu Spyd toute sa putain de vie et toi tu lui demandes gentilment la permission de prendre Spyd? T'as perdu ta raison ma foi!

Adrien sursauta lorsqu'il entendit la porte du hall ouvrir. Il tourna la tête vers celle-ci et vis deux femmes entrer dans la hall, l'une d'entre elle était nul autre que la mêre d'abiguail et bien entendu l'autre étant abiguail elle même. Les deux femmes semblait inquiette pour le jeune garçon, chose qu'il ne comprenait pas totalement, il s'avait que son fils n'était jamais aller raconter se qui se trammait à la maison.

-Hé bien c'est gentil de frapper. dit-il d'un ton quelque peu ennuier.

Qu'est-ce qu'elles lui voullaient encore. Il ne pouvais pas s'auccuper de son fils tranquillement.

- Monsieur, pardonnez notre intrusion mais, je crois que ce que nous faisons, nous le faisons pour le bien de votre fils. Il est pleine catatonie. Je suis infirmière, je peux l'aider, mais il... avait-elle dit prennant un ton doux et poser.

- Maman! Tu te souvins à qui on parle ou merde? Ce monstre m'a battue, il a battu Spyd toute sa putain de vie et toi tu lui demandes gentilment la permission de prendre Spyd? T'as perdu ta raison ma foi!

Les mains d'adrien commenca a trembler légèrement. Comment ? lui l'avoir battue elle, Il n'avait jamais été soul au point de ne pas se rapeller qui il frappait et c'était ridicule, pouruqoi l'aurait-il frapper ? il avait toujours eu sa raison, QU'aujourd'hui trouvait ridicule. Mais jamais il n'avait toucher ou ecore n'avait été violent avec qui que se soit d'autre. Spyd qui en faite ne dormait pas totalement, les pbservait depuis un moment. Il regarda la réaction de son père et on voyait facilement la culpabiliter dans ses yeux. IL se releva légèrement et regarda froidement abiguail. De quoi elle se mêllait encore celle la ? Puis il dirigea vers le visage de la mêre d'abiguail.

-C'est bien gentil tout ça mais lorsque je vous est dit que ça irais, cela voulais dire que sa irais pourquoi sa n'irais pas ?

Il prit une pause, mettant une main réconfortante sur l'épaule de son père qui gardait obstinément les yeux sur le sol.

-Abiguail, combien de foie je t'ai dit de te mêller de se qui te regarde. Je te rapelle que se n'est pas toi qu'il croyait toucher mais moi, alors cèsse de faire l'enfant martire. Y'a des chose bien pire dans la vie et maintenant Je te demanderait de cesser de te foutre de ma vie. Finalement, si je dit que je vais bien, je vais bien, est-ce que tu vois une moindre trace de lutte dans la maison.....non. Mon père n'a pas et n'aura plus jamais la moindre intention de lever la main sur moi. AI-je besoin d'être plus claire ?

Il la regarda froidement et durement, mais sans pour autant vouloir la blesser. Il voulais simplement qu'elle est confience en lui.

Abigail et sa mère furent toutes deux surprises d'entendre Spyd parler. Abigail supporta le regard que lui envoyait le garçon. Comment est-ce qu'il pouvait faire confiance à cette homme? Vraiment, elle ne le comprendrait jamais. Après quelques minutes d'un regard soutenu, elle baissa la tête, ravalant une larme. S'il n'Avait pas voulu lui faire mal, c'était raté. Frustrée de la réaction de son ami, elle tourna les talons et partit s'Asseoir sur le trottoir devant la maison. Si sa mère avait encore quelque chose à leur dire, elle le ferait sans elle.

Et c'Est ce qu'elle fit, sans se soucier de la crise de nerfs de sa fille. Elle savait qu'Abigail n'avait jamais été confrontée à la violence physique et que ce genre de choses lui faisaient mal seulement à en parler. Elle comprenait parfaitement pourquoi la petite voulait s'isoler un peu.

"Écoute Spyd... J'ignore ce qui s'est passé, mais tu as subi un choc, quel qu'il soit. Je ne doute pas de la bonne volonté de ton père. Et je ne doute pas qu'il t'aime beaucoup mais, tu dois aussi comprendre qu'on s'inquiète pour toi. Je sais quand quelqu'un ne va pas aussi bien qu'il le dit, je travaille là-dedans."

Elle regarda son père dans les yeux, cherchant en quelque sorte son accord. Elle ne le portait pas trop dans son coeur, mais elle ne pouvait pas enlever un enfant à son père sans son consentement. Et s'il le fallait, elle viendrait même s'occuper de lui ici, quoi qu'en dise sa fille.

Le jeune garçon en avait assez qu'on s'auccupe de lui i aurait préférer qu'on le laisse tranquille c'était trop demander peut-être ? Se qui l'énervait le plus haut point c'était qu'on se foutait totalement de son avis, on lui infligeait d'aller chez elles. C'était d'un ridicule, elle était obstinément certaine que l,emmener chez elle lui ferais un grand bien alors que se qui lui ferait le plus de bien était surment un bon moment de solitude pour repenser a tout sa. SOn père regarda la mêre un peu déstabiliser pas tout le dire de son fils.

-Hé bien se n'est pas a moi de décider, mon fils est libre de faire se qu'il lui plait, il est assez grandpour savoir se qui est bien ou non pour lui, je n'ai pas un mot a dire sur son comportement ou encore sa décision, c'est sa vie après tout.

Avec un grand soulagement zak remercia son père. Il n'avait du tout envis de faire sujet d'observation pour la mêre d'abiguail. être constament suveiller l'énervait au plus haut point. Il se leva et sortit de la maison rejoindre la jeune fille sur e trotoire. Laissant son père et la dame discuter un moment. Il sassis près d'elle et n'ausa pas la toucher de^peur qu'elle le prendre mal. Il soupira un moment, la pluie avait cesser.

-Je ne voulais pas te blesser abi...
il se tourna vers elle et de sa main dégagea les mêche rebelle sur le frond de la jeune fille.

-j'y suis aller un peu dur, je suis désoler... En se moment je suis un peu a bout de nerf tu vois. Mon père tente du mieux qu'il peu de se ratrapper et disons que se que tu a dit... je comprend que tu ne soit pas des plus heureuse en compagnie de mon père, seulement je voudrait seulement que tu respecte mon choix d'accord. Je ne veut pas que tu sois en froid avec moi, j'ai vraiment pas besoin de sa pour le moment. SI tu veut rassurer ta mère, tu n'a qu'a rester. Ho t'inquiette, Mon père doit partir demain a la première heure pour un mois, et ta présence me ferais du bien je crois. Je ne veut pas être constament surveiller par ta mère, alors je préfère rester chez moi, j'm'y sant un peu plus alaise.

Sa Voix était casser et déchirer par la fatiguer et la tristesse. Il n'avait pas besoin de chaperon, seulement d'une amie sur qui compter.

Vraiment, Abigail était de mauvais poil. Elle ne comprenait que ce qu'elle même vivait. Elle avait beaucoup de mal à se mettre à la place des autres. Bien sûr, elle avait apprit depuis longtemps que lorsqu'elle déprimait, tout le monde venait vers elle et elle adorait ça. Elle ne pouvait même pas concevoir que Spyd ne veuille pas discuter ou être aidé, entouré.

La seule chose qu'elle pouvait se rentrer dans le crâne dans cette situation, c'était quelque chose qu'elle connaissait. Le père de Spyd était comme sa mère en fait. Pendant un temps, elle ne s'était pas occupée d'elle comme il se devait, elle l'avait carrément chassée de chez elle, et maintenant elle essayait de se reprendre, d'être la bonne mère qu'elle n'avait jamais été que pour ses patients à l'hopital.

Oui elle pouvait comprendre ce que Spyd ressentait à l'idée d'avoir un père différent, gentil. Mais elle ne se rentrait toujours pas dans la tête, c'était pourquoi... Pourquoi est-ce qu'il avait été aussi mauvais envers lui? Et pendant qu'elle réfléchissait à ça sur le bord de la rue, elle pensait aussi à sa mère. Pourquoi...

Elle fut interrompue dans ses réflexions par quelqu'un qui vint s'asseoir près d'elle. Ne relevant pas tout de suite la tête, elle ne sut qu'il s'agissait de Spyd que lorsque celui-ci parla.

Elle savait bien qu'il ne lui avait pas voulu de mal. Cette époque était révolue; celle où il l'envoyait paître sans délicatesse. Maintenant les choses avaient changées. Maintenant ils étaient amis. Les gestes qu'il avait envers elle étaient amicaux, rien de plus et rien de moi.

Elle releva ses grands yeux tristes vers lui et avec une petite moue boudeuse, répondit à sa requête.

[i]- Je vais rester. Mais me mère viendra nous voir parfois. Je viens de la retrouver et rester loin d'elle me paraît presque inconcevable. Je suis pas comme toi. J'ai besoin de gens qui m'entourent. [/i]

Zakary lui fit un mince sourire. Il passa ses bras autoure de la taille de la jeune fille pour sentir un peu de réconfore. Il caresse ses cheveuxd'une main la tête déposer sur l'épaule de la jeune fille.

-Tu n'est pas oubliger de rester continuellement,tu peut toujours aller chez toi quand bon te semble et de toutefaçon t'a école. Je suis pas près d,y ller avant un bon bout, mais peut-être que dans quelque jours je penserais a y aller.

IL n'avait pas vraiment envie de lui expliquer le pourquoi du comment seulement il préférait qu'ellene reste pas non lpus totalement dans l,ignorance des dernier évènement, aussi si elle restait elle devrait s'abituer lentement a sadéprime et c'est joyeux conpagnon vider de vie, les cadavres. Bien sur il ne lui expliquerais pas maintenant, seulement lorsque la mère d'abiguail ainsi que son père soit partie et ilne croyait pas avoi déja expliquer l'empleur de son pouvoir a la jeune fille. IL se leva et aid la jeune fille a en faire de même et finis par rentrer dans la demeur en expliquant leur désisions aux deux adultes.

Bien qu'elle se sentait toujours un peu chambouler, elle avait tout de même l'impression d'avoir retrouvé celui avec qui elle s'était si bien entendu il y avait maintenant plusieurs jours de cela. Il n'aurait manqué que Kyle pour que le tableau soit parfait. Bien qu'elle ne se l'avouait pas à elle-même, elle savait qu'elle l'appréciait assez. Mais bon. Sans doute allait-il revenir un peu plus tard. Il avait sûrement un truc important à faire ou quelqu'un à voir. Ça aurait expliqué le fait qu'il ait été si pressé et n'ait pas pu lui-même aider Spyd.

- Je vais rester le plus que je pourrai.

Elle eut une petite pensée pour Derek et fit la grimace. Si jamais il apprenait qu'elle passait un mois chez Spyd, c'était certain qu'il débarquerait pendant une nuit avec des potes pour faire sa fête au pauvre garçon.

- Je vais peut-être seulement éviter d'avoir cette tête-là quand je sors avec toi. Pour ta propre sécurité. Et peut-être un peu la mienne aussi.

Elle lui sourit et se serra un peu plus sur lui. Elle ne voulait pas parler de Kyle. Quelque chose lui disait que c'était un sujet délicat. Elle devinait que Spyd ne le voyait pas comme un simple ami. C'était plutôt facile à deviner. Mais l'autre imbécile... Il n'avait sans doute rien remarqué, comme toujours.

Le jeune homme eux un petit sourire bien que l'envie lui manquait. Il soupiras et embrassa abiguail sur la tempe la remerciant mentalement de l'effort qu'elle fesait pour l'aider du mieux qu'elle pouvait, bien que sa curiositer devais aussi y être pour quelque chose.

-Non, reste comme ça, tu est bien plus jolie. S'il y a un problême se seras a moi de le régler, et si tu t'inquiête pour dérek, je suis sur qu'il seras compréhensif et je lui est fait une promesse après tout. De toute façon je ne pense pas sortir avant un bon moment, je me sens pas vraiment en forme. dit-il d'un ton qui cachait mal sa tristesse.

Il se releva et tendit la main a la jeune fille d'un mince sourire, les seule qu'il pouvait faire a se moment.

-On rentre annoncer notre décision au parent ???

Abigail sourit. Spyd avait raison. Cette apparence était sa préférée à elle aussi. Pas pour rien qu'elle l'utilisait tous les jours. Une parole de Spyd l'Accrocha quand même.

- Une promesse? Quelle promesse? Tu fais des pactes avec copain dans mon dos maintenant? dit-elle en se moquant.

Elle n'attendit tout de même pas de réponse et prit la main qui lui était tendue pour se relever.

- Bien entendu, dit-elle. Je vais m'en charger.

Une des nombreuses spécialités d'Abigail consistait justement à annoncer tous les genres de nouvelles comme s'il s'agissait de la chose la plus banale qui soit. Comme la fois où, petite, elle avait réussit à insérer le fait que son cousin préféré était mort pendant qu'elle racontait ses récits de vacances, comme si ça faisait partie des attractions vues.

Ils entrèrent à nouveau dans le salon et en voyant le regard de sa mère posé sur sa main, elle relâcha bien vite celle de Spyd. Apparament, leur deux parents avaient discuté entre pendant leur absence. Sa mère était tranquillement assise en face de l'homme.

- Maman, je vais rester ici pendant le voyage de monsieur juste là.

Elle pointa avec une légère pointe de dédain le père de Spyd. Il avait beau avoir changé ,avoir cru que c'était son fils, elle ne le digérait toujours pas. Elle n'arrivait pas à le saquer.

- Je sais, dit sa mère en haussant les épaules. On était justement en train d'en discuter.

Zak entra a l'interieur et se dirigea vers le salon ou était assis la mêre d'abi et son père. uil leur fit un faible sourire par simple politesse, et se resta a l'écart écoutant les dire d'abi et de sa mère. Terminer son père aquiéssa le tout d'un signe de tête.

-Parfait, avoir une amie a tes côter te feras surment du bien, s'il y a de quoi n'oublie pas de m'apeller.

Zak lui fit un faible signe de tête en guise de réponse. Adrien se tourna ensuite vers la mère d'abi et lui fit un sourire charmant.

-je ne veut pas vous jetter a la rue, mais comme vous le voyez, Zak ne semble pas vraimetn en plaine forme et je doit me préparer.

Il se tourna ensuite vers abi et lui fit un maigre sourire bien qu'il voyait cette dernière comme une bouchère prêtte à le dépecer sur place.

-Hé bien vous reviendrez aujourd'ui ou demain ???

Adrien avait assez bien perçu le regard de la jeune fille. Effectivement, ses yeux lançaient des couteaux. Mais c'était incontrôllé. Ça prendrait un bon bout de temps avant qu'elle puisse accepter cet homme. Sa mère semblait avoir un peu moins de mal. Elle était capable de lui sourire au moins.

- D'accord. Moi je n'y vois aucun inconvénient. Tu veux que je te laisse ici Abi ou si tu préfères rentrer avec moi.

Abigail lança un regard frois au père de Spyd et secoua la tête.

- Ça va. Je peux rester. Je rentrerai à pied.

- Très bien c'est comme tu veux ma chérie.

Sa mère fit un large sourire à Adrien et se tourna pour sortir. Elel croisa le regard de Spyd et le regarda un moment dans les yeux.

- Prends soin de toi, dit-elle en lui replaçant une mèche de cheveux.

Abigail se retrouva ensuite seule avec Adrien et Spyd. C'était étrange. Maintenant que sa mère était partie, elle se sentait encore moins en sécurité.

Spyd ne dit lorsque la mère d'abi vient le voir pour lui donner son réconfore et de la force, d'ailleurs il n'en possaidait plus vraiment. Il se sentait fatiguer et ses penser était rapidement retourner au visages en larmes de kyle comme si se dernier le suiverais éternellment, incapable de sans débarasser. SOn père le remmarqua assez rapidement, cette aire perdue dans ses pensés, en traint de sauto détruire de l'interieur, il aurais beau tenter de quoi il savait qu,il ne pourrais rien y faire temps que la personne manquante au tableau si bien décrit par son fils ne vienne pas combler cette espace vide dans le coeur de zak. Maintenant, en y repenssant bien il était ficaile de voir un sénario du pourquoi son fils abordait cette attitude. Il savait les liens qu'il avait difficilement tenter de fonder entre lui, abiguail et kyle, et connaissait le sentiment refouler en lui. D'ailleurs il savais que so fils avait refuser de sortir pour la simple raison qu'il avait peur de les croiser, et a voir les personnes présente il pouvais facilement voir qu'il avait rencontrer kyle et que le pire c'était produit. Seul la présence de kyle pourrais le rammener a la réaliter. il soupira et passa une main dans ses cheveux. Abiguail n'y pourrais pas grand chose mais peut-être plus que lui et n'importe qui d'autre tout compte fait. Il monta donc les escalier pour aller dans sa chambre préparer ses effets.

Zak quand à lui, avait retrouver son regard perdue et son viage triste et sombre. Il n'avait plus bouger ni même réagie au moment suivant son entrer dans la maison. Il la revoyait encore et encore pleurer et crier sans s'arrêter et lui qui ne pouvais ni la consoler et l'aider, sans avoir a devoir le quitter, il devait disparaître de sa vie, et ça sa lui fesait atrocement mal. Il ne pourrais plus voir cette bouille grincheuse et maladroite qu'était kyle, ni même son aire faussement colèrique ou ses rares sourire charmeur. Il recommença légèrement a trembler ses doigt se crispent sur la paume de ses mains.

Abigail hésitait entre sauter de joie parce qu'elle pourrait veiller sur Spyd et se terrer dans son trou parce qu'elle aurait à endurer son père pour aujourd'hui. Enfin... Aujourd'hui. Elle pouvait toujours aller chez elle, prendre ses affaires et attendre au lendemain.

Mais ce fut Spyd qui l'en empêcha, sans même s'en apercevoir sans doute, en replongeant dans son état inquiétant. Elle soupira. Adrien n'était plus dans le salon, elle l'Avait donc sous sa responsabilité si on pouvait dire. Le voir comme ça la faisait frissoner. Vraiment, elle commençait à être très curieuse. Qu'est-ce que Kyle avait fait pour qu'il soit ainsi perturbé. Car elle était loin de pouvoir croire que le beau, le grand et le magnifique Spyd puisse être le fautif dans cette histoire.

- Allez, va au moins t'asseoir, dit-elle en lui prenant la main et en l'entrainant sur le sofa.

Elle l'y installa, veillant à ce qu'il soit bien, et s'éloigna. Qu'elle le veuille ou non, elle devrait parler à son père. Peut-être qu'il avait eu plus de détails qu'elle et qu'il pourrait lui en dire plus.

Prenant son courage à deux mais, elle attendit près de la porte du salon. Elle n'avait pas envie d'aller dans la chambre d'Adrien. Elle se souvenait de ce que ça lui avait valu la première fois. Lorsqu'il descendit pour une raison quelconque, elle l'arrêta.

- euh... je ne veux pas vous déranger dans vos préparatifs mais... je voudrais savoir quelque chose. Il vous a parlé de ce qui s'était passé? Ou il vous a fait le coup du silence à vous aussi? En tout cas si vous savez des détails que je ne connais pas, j'aurais vraiment besoin que vous me le disiez.

Zak ne sentit pas le bras de la jeune fille le tirer vers le salon ni même la chaleur du foeyr brulant juste en face de lui. Non, tout était noir, froid, vide, vide de son absence, de sa chaleur de ses mot, de sa douceur.

Adrien finis par remplir sa valise de tout les effets qu'il avait besoin. Il redessendit donc en bas pour aller faire de quoi manger pour les deux adolescent, lorsqu'il fut arrêter par abiguail.

- euh... je ne veux pas vous déranger dans vos préparatifs mais...

-Voyons donc, tu ne me dérange pas du tout.dit-il sur un ton qu'il voulait des plus rassurant possible.

-je voudrais savoir quelque chose. Il vous a parlé de ce qui s'était passé? Ou il vous a fait le coup du silence à vous aussi? En tout cas si vous savez des détails que je ne connais pas, j'aurais vraiment besoin que vous me le disiez.

Adrien regarda son enfant assis dans le salon les yeux dans les vape. Il soupira et entraîna la jeune file dans la cuisine l'invitant a sasoir.

-Venez, je crois qu'il y a des chose que vous devez savoir sur zakary. Je ne sait pas s'il est vraiment pour le fait que je dévoile tout, mais je croie que le moment est critique et vous êtes bien la seul personne qui pourrait l'aider en se moment.

Il plaça sur la table la lettre d'Élizabeth, la mère du jeune homme et la regarda tristement avant de continuer.

-Je sait que vous n'êtes pas un enfant comme les autre, ne vous inquietter pas, je n,est rien contre ça. Zakary aussi est un mutant. dit-il sur une note de tristesse. Mais son "don" fait beaucoup de ravage et il lui a créer beaucoup de problème, jusqu,a se qu'il vous rencontre et qu'il lise cette lettre.

Adrien expliqua par la suite comment était morte la mère de son fils, comment il tait devenue alcoolique et ne manqua pas de dire la vériter sur la façon dont il traitait son fils, sans même affuter l'égèrement l'histoire. Non, il ne m'éritait pas de se cacher ni même d'être blamer. Sur se passage les yeu de l'homme c'était remplis de larme et de honte. Il continua en lui parlant de comment il c'était réveiller et avait changer et aussi comment zak, avait appris la véritable histoire sur la mort de sa mère. Il lui parla sans perdre aucun détailles l'empleur du pouvoire de zakary et aussi cette deuxième parsonnaliter dont il lui vait fait par.

-Je ne sait pas exactement se qui c'est passer dans la rue, la seul chose que je sait c'est que cela concerne kyle et que zak a fait quelque chose de terrible, son pouvoir est une arme des plus redoutable et il a une énorme difficulter a la contrôler, seul ses sentiment le contrôle vraiment. Aussi, je veut vous avertir, il se peut que pendant votre séjour, vous ailler afair a plusieurs de ses visions, elle ne vous attaquerons pas directement mais elle sont aurible et ideuse.... Par... Par pitier ne le laisser pas seul a cause de tout cela. Contrer vos peur pour l'aider, ... s'il vous pl... les dernier mot se perdire dans la gorge de l'homme.

raconter tout cette histoire était quelque chose de difficile mais, d'éssencielle pour la jeune fille. il ne fallais pas qu'elle se face surprendre pas un cadavre a l'un de ses réveilles.

-Venez, je crois qu'il y a des chose que vous devez savoir sur zakary...

Cette phrase fit frémir l'adolescente. En temps normal, ces mots n'Annonçaient jamais rien de bon. Et d'après la mine défaite d'Adrien, ce qu'il avait à lui dire suivait sans doute cette règle. Elle le suivit toutefois dans la cuisine, anticipant ce qui allait suivre. Elle le vit poser un papier sur la table.

-Je sait que vous n'êtes pas un enfant comme les autre, ne vous inquietter pas, je n,est rien contre ça. Zakary aussi est un mutant. dit-il sur une note de tristesse. Mais son "don" fait beaucoup de ravage et il lui a créer beaucoup de problème, jusqu,a se qu'il vous rencontre et qu'il lise cette lettre.

Zakary... Elle n'était pas encore habituée à entendre ce nom quand on parlait de Spyd. Elle devrait se rentrer dans la tête que c'était son vrai prénom. Elle fut d'abord surprise qu'Adrien sache qu'elle était mutante. Apparament, Sp... Zakary lui avait parlé d'elle. Son deuxième choc fut d'apprendre que lui aussi avait des pouvoirs. Ça elle ne l'avait pas vu venir du tout. Pourquoi est-ce qu'il ne le lui avait pas dit?

Mais c'est le passé de Zak qui la troubla le plus. Elle commençait à voir son père d'une autre manière. Elle pouvait comprendre qu'il ait été en colère. Perdre la personne qu'on aime le plus au monde, c'était un coup dur. Et si en plus c'était à cause d'un mutant... C'était toujours taboo et effrayant pour les gens normaux.

-Je ne sait pas exactement se qui c'est passer dans la rue, la seul chose que je sait c'est que cela concerne kyle et que zak a fait quelque chose de terrible, son pouvoir est une arme des plus redoutable et il a une énorme difficulter a la contrôler, seul ses sentiment le contrôle vraiment. Aussi, je veut vous avertir, il se peut que pendant votre séjour, vous ailler afair a plusieurs de ses visions, elle ne vous attaquerons pas directement mais elle sont aurible et ideuse.... Par... Par pitier ne le laisser pas seul a cause de tout cela. Contrer vos peur pour l'aider, ... s'il vous pl...

Donc... Donc c'était Zak le fautif. Elle aurait préféré que ce soit Kyle. Elle se serait fait un plaisir de lui taper dessus pour lui faire regretter... mais Spyd... c'était autre chose. Elle avait mal jugé ses deux amis apparament. La description des pouvoirs de ZAk, l'émotion d'Adrien pendant qu'il en parlait, ça suffit à émouvoir la jeune fille. Elle prit la main de l'homme et la serra entre ses doigts fins, un sourire hésitant sur les lèvres.

-Ne craignez rien. Je n'abandonnerai pas mes amis.

Elle avait dit mes car elle incluait Kyle. elle espérait qu'il reviendrait et pardonnerait à Spyd. Si elle pouvait le trouver et lui parler, ça aiderait sûrement. En tout cas maintenant elle devinait que les mots que Spyd répétait étaient adressé au jeune garçon.

Adrien fut soulager par les mots de la jeune fille. Se petit sourire hésitant, voulant aider et apaiser sa peine le rassurait un peu. Il la remercia et se leva de sa chaise. Il retrouva son sourire et décida qu'il devait faire a manger, se qu'il fit peu de temps après.

Zak quand a lui n'avait pas bouger. Chose étonnante non ? bon vous voyer le sarcasme. Il était rester comme au tout dépard, le regard vide. Il n'avait cesser de penser a kyle mais tentais déssepérément de l'oublier et de penser a autre chose. SOn visage neutre, fini par se remplir de larme, coulant sur sa joue pour finir par s'écraser sur son bras. Sa vue était embrouiller, il avait l'impressions que son coeur voulais s'arracher. Il finit par sortir avec toute la force possible de son état de légume et releva la tête vers le foyer. Il ne se leva pas, il resta assis, mais regarder le feu bouger dans le foyer lui fesait oublier le reste, c'était moin pire. Un vingtaine de dizaine de minut plus tard Adrien annonçais le repas.